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Le Château La Louvière a plus d'un charme à offrir : un patrimoine architectural somptueux datant de la fin du XVIIIe siècle, mais aussi une histoire viticole vieille de plus de 700 ans. Si les premiers pieds de vignes ont été plantés vers 1310, le savoir-faire en matière de viticulture date du XVIIe siècle et a été transmis par les religieux de la Grande Chartreuse de Bordeaux, habiles viticulteurs et fins vinificateurs. Les hommes d'aujourd'hui ont hérité de ces techniques ancestrales et ont su apporter ce soupçon d'innovations et de modernité nécessaire pour sublimer le caractère de ce terroir d'exception. D'une robe sombre, le vin rouge de La Louvière a un nez élégant, marqué de délicates notes boisées...
Ample et Complexe
Cabernet Sauvignon 64% / Merlot 30% / Cabernet Franc 3% / Petit Verdot 3%.
Du mois de février à juin, les températures ont été très supérieures aux moyennes, et les pluies très inférieures aux valeurs habituelles. Des conditions de sécheresse ont été observées en fin de printemps.
D’un grenat très dense, la plus connue des propriétés d’André Lurton sur l'A.O.C. Pessac-Léognan se présente en 2011 dans une robe de très belle tenue. Les nombreux reflets violets sont les garants d’un élevage bien conduit.
Ce vin est d’une jeunesse remarquable, et saura préserver les qualités de son fruité de longues années. Fruits rouges comme fraise, framboise sont très nets et purs. Des notes de tabac blond et de vanille amènent de la complexité, et toutes ces fragrances sauront se marier dans un assemblage complexe après trois ou quatre ans de conservation en bouteille.
La bouche est très équilibrée et élégante. On devine sa puissance derrière des tanins veloutés et un boisé bien intégré. La finale, typique de son terroir, se prolonge longuement sur des notes fumées et grillées. Comme ses prédécesseurs 2O09 ou 2010, ce château Louvière rouge 2011 pourra s’accorder avec les grands classiques de la cuisine française : civets, confits, pièces de viande rouge, gibiers mais aussi volailles en sauce.
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Édition 2015 - À l’image du château, le vin joue la carte de l’élégance. D’une grande harmonie, il charme l’œil par sa robe bordeaux sombre. Le bouquet, discret mais subtil, même la pivoine, la framboise, le cassis et les épices. Epaulé par un boisé toasté bien ajusté, le palais dévoile des tanins fermes et fins enrobés par une chair tendre et soyeuse. 2017-2022 / Quasi de veau.
Brillante réussite d'André Lurton, le La Louvière 2011 regorge de notes de crème de cassis et de réglisse, mêlées à de subtiles nuances fumées et boisées. De corps moyen à ample, ce vin offre des tannins bien intégrés, doux et veloutés, ainsi qu'une profondeur étonnante et une belle texture. Il s'impose au palais, sans aucune dureté. Encore un autre exemple du succès de Pessac-Léognan et des Graves en 2011. Cette révélation du millésime devrait bien vieillir pendant 10 à 12 ans.
Nez frais fruité et épicé avec des accents de bois, cèdre, et poivrés. Jolie bouche tendre, juteuse, pleine de fruit tout du long. Finale légèrement chaude et poivrée, mais c'est le fruit qui a le dernier mot. L'équilibre est bon et la tenue aussi. Bonne longueur. Complexité : 13(+)/20. Plaisir : 16/20.
Boisé, fruits noirs, bouche ronde, moelleuse, plaisant, à boire jeune, assez flatteur, bien fait.
Souple et parfumé.
Sur la prune, la rose et la badiane, c’est un charmeur plein de suavité. La bouche est finement tramée mais surtout ample et généreuse avec un fruité velouté.
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Nez boisé, épicé, très balsamique à l’évolution. Il associe un très joli toucher de bouche, fondant, à une fraîcheur vivifiante. Un vin très gourmand.
Des tanins tranchants, presque mûrs, mais une corpulence relativement bien maîtrisée, reste équilibré et très fiable. À boire à partir de 2018 jusqu'en 2028.
Ce cru entame une mue. La moitié du vignoble a été replantée en adaptant l’encépagement au terroir. La part de jeunes vignes dans l’assemblage est donc conséquente. 2011 n’est pas très concentré, mais fruité.
Le nez le plus expressif jusqu'à présent, pur et profond, presque sucré. Des saveurs de fruits mûrs s'accompagnent de tannins qui s'affirment en fin de bouche, mais sans être trop anguleux. La suavité typique des graves est bien là, bien que moins marquée en finale que pour le vin précédent, mais l'élevage devrait y remédier. Une performance à noter pour un vin souvent sous-estimé !
Prune de Damas lisse, groseille, cousues avec une note aromatique de thé noir. Compact, mais bien centré. (James Molesworth)
Un peu maigre, mais un cœur séduisant de cassis. En train de prendre davantage de corps et de substance. (Roger Voss)
Belle extraction, du cassis légèrement terreux, bonnes maturité et concentration naturelle. Très bon sur le moyen terme. À boire 2015-2025.
Pour le moment, l’austérité native du tanin bloque le vin, mais sa franchise de constitution est évidente.
Noir-pourpre très opaque. Toute la gamme montre des couleurs très profondes. Arômes persistants de griottes fraîches et cassis, une pointe de minéralité. À la fois sec et juteux en bouche. Texture élégante, fraîcheur fruitée. Souple et vif. Le fruit n'est pas particulièrement dense, mais agréablement harmonieux. (Julia Harding)
Un bouquet très discret, mais qui s'affirmera avec le temps. La bouche révèle des notes de café en grains et de myrtille, dégageant une impression générale de calme et de douceur. Un vin agréable. On décèle une pointe d'acidité en fin de bouche, à condition d'être bien attentif.
2016 - 2026
46,00 hectares
Graves profondes
Manuelles en petites cagettes profondes.
101.14 - Riparia gloire - 3309
Fertilisation classique raisonnée
8500 pieds par hectare
26 ans
Cabernet Sauvignon / Merlot
Guyot double avec ébourgeonnage
En cuves inox thermo-régulées avec système breveté d’émiettage du chapeau de marc et en cuves béton, avec pigeage.
28 à 30 °C
Oui
Pendant 12 mois en barriques (40-50% neuves) avec soutirages.
Au blanc d’œuf
Suivant les millésimes, commence à s’exprimer entre 3 et 5 ans, peut vieillir entre 15 et 30 ans.
Michel ROLLAND et Mikaël LAIZET.
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