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Le Château La Louvière a plus d'un charme à offrir : un patrimoine architectural somptueux datant de la fin du XVIIIe siècle, mais aussi une histoire viticole vieille de plus de 700 ans. Si les premiers pieds de vignes ont été plantés vers 1310, le savoir-faire en matière de viticulture date du XVIIe siècle et a été transmis par les religieux de la Grande Chartreuse de Bordeaux, habiles viticulteurs et fins vinificateurs. Les hommes d'aujourd'hui ont hérité de ces techniques ancestrales et ont su apporter ce soupçon d'innovations et de modernité nécessaire pour sublimer le caractère de ce terroir d'exception. D'une robe sombre, le vin rouge de La Louvière a un nez élégant, marqué de délicates notes boisées...
Riche et Puissant
Cabernet Sauvignon 64% / Merlot 30% / Cabernet Franc 3% / Petit Verdot 3%.
L'hiver a été rigoureux (nombreux jours de gel) et le printemps assez frais. Au cours de cette année 2010, l'ensoleillement a été généreux. Entre le 21 juin et la fin septembre, on a pu observer une longue période de sècheresse, qui s'est révélée plutôt favorable à la vigne.
Sa couleur est sombre et profonde.
Son nez puissant évoque les baies noires et rouges, soulignées par une délicate perception fumée. En effet, de petites notes de vanille, de grillé et d’épices viennent s'ajouter pour composer un bouquet riche et complexe.
En bouche, on ressent immédiatement une grande structure. Tout se mêle et se fond avec harmonie, ce vin ayant suffisamment de chair, de volume et de puissance pour garantir un sérieux potentiel de garde, tout en se montrant déjà très séduisant. C’est une très grande bouteille. Elle s’accordera parfaitement avec un pigeon cuisiné ou toute viande rouge de caractère.
Équilibré et délicat. Apogée : 2014-2025.
Nez riche et doux. Juste un peu trop doux et brutal. La finale est courte, malgré une grande volupté. À boire à partir de 2018 jusqu'en 2030.
Nez intense, musqué, épicé, poivré et riche de fruits, cassis, cerise, confituré. Bonne bouche pleine de fruit. Une chaire charnue et chaude. La finale, remplie de fruit et de notes crémeuses, est tapissée par un tannin au grain légèrement rêche, rappelant le drap de lin. Bon équilibre, bonne tenue et bonne longueur. Complexité : 13+/20. Plaisir : 16+/20.
Voici la grande réussite du cru. Couleur sombre, intense et belle. Très beau nez que je préfère non décanté que décanté. Il garde plus de finesse. Note de réglisse. Par contre la bouche est actuellement beaucoup plus appétente et large lorsque l’on décante le vin. Il évolue gras, puissant, nerveux avec des arômes complexes vers une finale au grain noble. Très belle persistance savoureuse, le plus beau vin que je connaisse de la Louvière. 2020-2040.
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Édition 2014 - Le vin rouge de ce cru, qui ne s'appelait pas encore "Pessac-Léognan", fut l'un des trois coup de cœur de la région des Graves dans la première édition du Guide, en 1985. D'autres ont suivi… l'étiquette n'a guère changée: elle représente la façade du Château, attribué à l'architecte Victor Louis. L'élégance de l'édifice se retrouve dans le vin ; d'abord dans le bouquet, où un riche apport du bois aux accents torréfiés, vanillés et épicés laisse pleinement s'exprimer un fruit bien mûr (fruits noirs, prune et fraise) ainsi qu'une pointe de réglisse ; puis au palais, où les saveurs et les arômes s'équilibrent pour former un ensemble harmonieux, étayé par une trame de tanins déjà bien fondus. La finale suave, généreuse et longue fait la part belle aux fruits confiturés nuancés en note d'épices, de chocolat et de tabac blond. Ce 2010 atteindra sa plénitude vers 2018 et son apogée durera de longues années.
Toujours dans son style élégant et complexe, avec un fruit pur et précis, de la minéralité, une trame tannique serrée et une délicieuse fraîcheur.
Site web - Vin raffiné qui allie des nuances de raisins de Corinthe, de mûres et de cerises noires à des notes de café et de tabac. Cette sensation de raffinement se prolonge avec autorité jusqu'à la finale. Vin à boire dès à présent jusqu'en 2020. (James Molesworth)
Des arômes de confiture de prune et de cerneaux de noix, du corps, ainsi que des tannins souples et veloutés, bien intégrés et séduisants. À laisser vieillir au moins quatre à cinq ans. L'un des meilleurs La Louvière.
Un nez dominé par le bois, mais qui à l’aération libère de belles fragrances fruitées. Onctuosité, équilibre et allonge, dans le plus pur style de La Louvière.
Dégusté dans le cadre de l'Union de Grand Crus, à Londres. L'équipe de La Louvière a produit un grand 2010, qui dépasses mes premières impressions datant des primeurs. Nez aérien de fruit mûr, de cerises au four et de confiture de framboises, avec d'agréables arômes d'argile mouillée qui s'ajoutent au fruit. Ce vin est relativement ample au palais, avec des tannins mûrs. L'équilibre est très bon, et le bois s'incorpore joliment au profil fruité, avec une tension et une vivacité marquées en fin de bouche. Ne ratez pas ce petit bijou. (Neal Martin)
Le nez possède une bellle intensité de fruits noirs et de fumé, que l'on retrouve dans une bouche aux tanins de belle dimension avec ce qu'il faut de longueur épicée.
Beau nez classique des millésimes mûrs de violette, fin, pur, harmonieux, tendre, très bien vinifié et bien préparé, tanin noble, un rien moins de chair que d’autres.
Fruits noirs, mûre, bouche dense, tannique, un peu extraite, tendue, vive, bon fruit en finale. À boire à partir de 2015 – Garde 18 ans. (Jacques Dupont)
Le nez est un peu taciturne mais il se devine derrière ces fruits noirs ombrageux de jolies notes minérales. L'attaque est suave et soyeuse, plus sensuelle que d'habitude avec des tanins saturés vers la fin. Paraît réservé pour l'instant mais devrait s'épanouir après la mise en bouteille. Dégusté en avril 2011. (Neal Martin)
Sombre, vineux, aux arômes de prune écrasée, anis et myrtille cotoyant agréablement des notes de tabac brun et cacao. Il faudra qu’il assume son boisé puissant, mais il y a de la matière en quantité. (James Molesworth)
Pourpre très foncé. Nez léger, une pointe de verdure. Attaque sucrée, moins de tanins évidents que la plupart de ses pairs. Distinctif. Comme de vieilles pantoufles souples… ? Pas très persistant. Mais très civilisé. Finale légèrement astringente actuellement mais très bien fait. À boire en 2020-2035.
Puissant et concentré, bois dominant. Le fruit s'avère un tantinet évasif derrière les planches, mais le vin possède une matière qui le rend quand même prometteur. (Roger Voss)
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Bonne extraction du fruit, déjà parfumé, structure typique, des tanins prometteurs. À boire en 2015-25.
2013 - 2025
46,00 hectares
Graves profondes
Manuelles en petites cagettes profondes.
101.14 - Riparia gloire - 3309
Fertilisation classique raisonnée
8500 pieds par hectare
26 ans
Cabernet Sauvignon / Merlot
Guyot double avec ébourgeonnage
En cuves inox thermo-régulées avec système breveté d’émiettage du chapeau de marc et en cuves béton, avec pigeage.
28 à 30 °C
Oui
Pendant 12 mois en barriques (40-50% neuves) avec soutirages.
Au blanc d’œuf
Suivant les millésimes, commence à s’exprimer entre 3 et 5 ans, peut vieillir entre 15 et 30 ans.
Michel ROLLAND et Mikaël LAIZET.
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