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Très tôt dans l'histoire, le Château La Louvière fut réputé pour la qualité de ses vins blancs. Ainsi au XVIIe siècle déjà, ceux-ci étaient fort prisés des marchands canadiens. Un siècle plus tard, on les retrouve sur les meilleures tables de Saint-Pétersbourg. Très élégants et fins, ils font partie, aujourd'hui de ces grands vins blancs secs de Graves, ambassadeurs de l'A.O.C Pessac-Léognan. Marqués sans caricature par le cépage sauvignon, leur potentiel de garde est remarquable.
Fin et Fruité
15% Sémillon / 85% Sauvignon blanc.
L'hiver a été rigoureux (nombreux jours de gel) et le printemps assez frais. Au cours de cette année 2010, l'ensoleillement a été généreux. Entre le 21 juin et la fin septembre, on a pu observer une longue période de sècheresse, qui s'est révélée plutôt favorable à la vigne.
Limpide et brillant, il est ourlé de reflets verts.
L’assemblage du La Louvière blanc est dominé par le Sauvignon. Il est identifiable dans le bouquet aromatique, très pur et élégant. Citron et pamplemousse, mais aussi fruits exotiques sont associés à un côté plus gourmand encore, avec l’apport vanillé et brioché de l’élevage en barriques de chêne.
La bouche est ronde et charmeuse à l’attaque. Elle gagne progressivement en amplitude et en suavité, tout en maintenant la sensation fruitée. C’est une superbe bouteille, qui laisse apparaitre progressivement de nombreuses nuances aromatiques déjà perçues au nez, auxquelles s’ajoutent des notes plus minérales. Viandes blanches ou poissons iodés s’associeront parfaitement. Ce vin pourra, également, être ouvert dans une dizaine d’années pour accompagner de délicieux fromages à pâte dure. (Janvier 2012)
Très aromatique, presque désagréable. Puis, assez crémeux en bouche. Ça ne peut être qu'un bordeaux. Une acidité très rafraichissante. Devrait bien vieillir. Très nerveux. À boire à partir de 2014 jusqu'en 2019.
(2010 bouché avec un bouchon - noté 15,50) Couleur pâle. Nez fruité, mûr et frais. Bouche grasse, savoureuse et subtile, avec du goût et une finale séveuse et finement vanillée. C’est « incrachable ». Très belle longueur. 2013-2025.
(2010 bouché avec une capsule - noté 15,75) Couleur pâle. Nez poivré et fumé. Entrée en bouche ample et grasse se développant puissant sur un milieu de bouche noble et subtil. C’est après le milieu que le vin devient savoureux et finement séveux avec du goût et une très longue finale savoureuse. 2016-2030.
Ce bordeaux blanc dense et structuré présente des notes de pomme verte et de mangue. Il est ample, avec d'agréables saveurs fruitées se prolongeant en finale, et une belle acidité. C'est le meilleur vin blanc produit ici depuis des années, du sérieux. Déjà impressionnant, il sera encore meilleur en 2015.
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Édition 2013 -
Le Guide des vins de France 2013 - Une race évidente qui s’exprime au travers d’une minéralité exquise, d’un fruit très pur, d’une bouche ample, franche, dense, avec une très grande persistance et un bel équilibre sur la fraîcheur.
Citronnelle, verveine, poire, délicat, long harmonieux, subtil, racé en fin de bouche, j’aime ce style très classique lié au sauvignon parfaitement mûr.
Seul Pessac-Léognan mis en bouteille sous capsule à vis. Du melon, de la figue, du zeste de citron en quantité, avec un soupçon de zeste d'orange. (Robert Parker)
Il faut amadouer le nez de ce vin pour qu'il consente à sortir du verre : assez phénolique comparé à d'autres blancs de Pessac-Léognan, avec des pointes de pamplemousse, ananas séché et levures, toutes modérément définies. La bouche est assez simple, des notes primaires de pomme verte, kiwi et une touche épicée, mais la finale manque un peu de tension et de vivacité par rapport à ses pairs. Dégusté en avril 2011. (Neal Martin)
Le sémillon, qui n’avait pas été retenu l’an passé, entre à nouveau (15%) dans l’échantillon présenté. D’où, au nez, une petite touche de croûte de pain qui apporte beaucoup de charme. Plus immédiat que son cousin, Couhins-Lurton, il sera à consommer avant lui.
Un cœur plaisant d’herbe et de citron, la finale est teintée de fleur de sel. L’arrière-plan est complété par des notes de paille et de verveine. (James Molesworth)
Texture opulente, l’acidité s’intègre admirablement dans une structure mûre, ouverte. De la matière, toute en gardant sa fraîcheur. Du citron vert acidulé avec des notes épicées perdurent jusqu’en finale. (Roger Voss)
De l’énergie au nez, vraiment athlétique en effet. Minéralité sèche, agréable. Frissonnant et réservé. Rocailleux. Ultra-sec, sans chichi. Pas un poids lourd. À boire 2017-2027. (Jancis Robinson)
Jolies notes persistantes d’agrumes, maturité naturelle, bonne structure, excellente longueur. C’est un Graves blanc dans les règles de l’art, mériterait le statut de Cru Classé en blanc. À boire 2013-20.
2013 - 2020
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15,00 hectares
Graves profondes et affleurements calcaires et argilo-calcaires en bas de pentes.
Manuelles avec sélections successives
41B-Fercal
Fertilisation classique raisonnée
6 500 à 8 500 pieds à l’hectare
26 ans
Sauvignon blanc
Sauvignon : Guyot double / Sémillon : A Côts.
Après pressurage et débourbage, en barriques de chêne merrain
18 à 23 °C
Non
Pendant 10 mois en barriques (30 % neuves) sur lies avec bâtonnage régulier
S'exprime très bien entre 3 et 5 ans, mais peut vieillir jusqu'à 10 à 20 ans,
Valérie LAVIGNE.
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